Mes séances de lutte
Brussels Film Festival / Panorama
Sara Forestier l’avoue franco : Jacques Doillon « s’est lâché grave ! ». C’est vrai, mais sans se fourvoyer. Doillon filme ce qui le branche : les duos amoureux, les huis clos torturés. La confrontation dialoguée, c’est le nerf de sa guerre. Les Jeux débridés du sexe et du langage sont ouverts.
Flagey, Brussels Film Festival