[29] Cédric Tiberghien, piano
Festival Musiq’3
Entre ces danses allemandes, vives et presque improvisées, et la sonate en do mineur que Schubert a écrite deux mois avant sa mort, il s’écoule juste cinq ans… et presque toute une vie. Mais c’est toujours d’amour, soit léger, soit tragique, dont il nous parle. Sous les doigts d’un Cédric Tiberghien sobre et expressif. On aime !
Flagey, Festival Musiq’3